Images des Tolocaj en voyage

Une semaine en cottage à Killarney dans le sud-ouest de l'Irlande.

Nous avons la chance d'admirer l'arrivée à Cork de la passerelle du Pont Aven.

Nous nous installons à Killarney et visitons les environs (Muckross, The Gap of Dunloe, Ladies view, ...)

Nous visitons ensuite la péninsule de Dingle.

Le temps change souvent dans une même journée! Pluie, vent, soleil se succèdent!

Mais tous les soirs... PUB! et musique traditionnelle. Un régal!

puis le "Ring of Kerry". Les paysages sont encore une fois magnifiques:

et les maisons colorées comme on les aime!

Nous finissons par la péninsule de Beara, que nous ne connaissions pas. Géniale également!

Nous quittons l'Irlande en passant devant Cobh, ville où le Titanic a fait sa dernière escale!

Retour en France par Briançon, la vallée de la Clarée et le parc des Ecrins...

Nous randonnons dans le parc des Ecrins vers le Glacier Blanc

Quelques rencontres sur le chemin!

La descente est plus difficile: le temps a changé et nous finissons trempés!

Nous traversons la Slovénie et rejoignons la partie nord de la Croatie, appelée l'Istrie. Nous visitons quelques beaux villages perchés.

et rejoignons la côte ouest puis le sud.

Avant de remonter et de reprendre la route de l'Italie et des Alpes, nous visitons Pula, la plus grande ville de l'Istrie.

Nous nous installonsau camping à Fusina, face à Venise que nous visitons pendant quatre jours. Super!

Nous profitons des Vaporetti pour circuler dans la ville et visiter les différents quartiers. Un vaporetto nous amène à Burano que nous apprécions beaucoup: les maisons colorées  le long des canaux nous font penser à .... l'Irlande!

et retour à Venise! On ne s'en lasse pas!!!

Nous traversons la frontière au Col du Petit St Bernard et rejoignons le Lac Majeur en Italie puis Le Lac de Côme et celui d'Iseo.

 

 

 

 

 

 

 

Passage par le Massif des Aravis et le Beaufortin puis passage de la frontière italienne au Col du Petit saint Bernard

Le barrage de Roselend

Notre premier bivouac sauvage est au col des prés juste avant Roselend

Après le col du Petit Saint Bernard, nous passons en Italie:

Du centre ville de Buenos Aires, nous rejoignons la gare de Retiro en métro puis prenons le train vers la ville de Tigre, au nord, à une heure  de la capitale. C'est l'un des faubourgs élégants de Buenos Aires où la bonne société se fait construire de somptueuses résidences secondaires.

Tigre est la porte d'entrée privilégiée du delta du fleuve Paranà. Immense réserve naturelle aux portes de la métropole, l'endroit est surprenant: ce labyrinthe de canaux et d'îles végétales occupe une immense superficie ( la moitié des pays bas!).  Nous prenons une "Lancha" (sorte de grand bateau-bus en bois) pour une balade sur les différents canaux. Ces minces embarcations, adaptées à l'étroitesse de certains canaux, font ici office de moyen de déplacement. Nous aurons l'occasion de déposer et d'embarquer des habitants lors de notre virée.

La partie insulaire du delta compte à peine 9000 habitants, ainsi qu'une multitude de résidences secondaires allant de la cabane de pêcheur à la villa de luxe.

Au retour, nous visitons Puerto de Frutos, marché pittoresque où l'on peut acheter des articles de vannerie et d'autres objets artisanaux fabriqués par les artisans du delta.

Le lendemain, nous faisons une agréable excursion en Uruguay, jusqu'à Colonia, qui, comme son nom l'indique, est une ancienne ville coloniale. Nous traversons le Rio Plata (50 km) en bateau (environ 1h) et nous nous trouvons dans un autre monde! La bourgade est calme, presque hors du temps! Bien préservée, la ville est inscrite au Patrimoine mondial de l'UNESCO. Nous la découvrons à pied sous un grand soleil!

Des la sortie du port, les rues ombragées par de grands platanes nous mènent à l'entrée du Barrio Historico, le centre historique de la vieille ville.

Beaucoup de vieilles demeures ont gardé leur patine et le dépaysement temporel est encore accentué par quelques vieux tacots qui achèvent là une carrière commencée avant le milieu du XXè siècle.

Beaucoup de ruelles conservent encore leurs pavages originaux.

Nous déjeunons sur la Plza Major qui donne la même impression de retour vers le passé.

Nous déambulons dans la petite ville. Tout est sujet à étonnement, dépaysement  et amusement!

N'hésitez pas à cliquer sur les photos pour les agrandir (surtout pour les panoramiques!)

Voir aussi les 7 premiers reportages sur l'Argentine en cliquant à droite sur "mars 2013"

Après une nuit reposante à Cafayate, nous remontons vers le nord par la Ruta 68. Nous empruntons la Quebrada de las Conchas, également connue sous le nom de "Quebrada de Cafayate". Dominant la rive gauche du Rio de las Conchas, asséché tout l'hiver, elle s'étire sur une cinquantaine de kilomètres, jusqu'à la ville d'Alemania. Elle débute à La Punilla, à une dizaine de kilomètres de Cafayate.

A peine franchi le premier virage se dévoile un univers stupéfiant! De part et d'autre de la route, le contraste de couleurs, de l'ocre gris au rouge le plus vif, frappe l'oeil.

L'eau et les vents ont façonné peu à peu des formes souvent surréalistes dans les montagnes. Les plus remarquables de ces sculptures naturelles ont reçu des noms: nous croisons donc Las Ventanas (les fenêtres), Los Castillos (les forteresses), la Garganta del Diablo, puis L'anfiteatro, étroit défilé ainsi nommé parce qu'il donne sur une grotte à l'acoustique exceptionnelle. D'ailleurs, un groupe de musique y joue alors que nous le visitons.

A "Tres Cruces", nous montons sur une petite dune pour admirer le point de vue. Vraiment bluffant! Nico en saute de joie!

Après El Sapo (rocher en forme de crapaud), nous nous arrêtons à la Casa de Loros où nichent des perroquets par centaines. Mais il est très difficile de réussir des photos: sacrément agiles ces bestioles!

Puis après Alemania nous roulons sur une route sans beaucoup de charme (mais goudronnée) pour arriver à Salta en début d'après midi car il nous faut rendre les voitures.

Quel changement! : nous nous retrouvons dans une grande ville, en plein dans la circulation et l’animation. Nous allons à pied au « Viejo Jack » un restaurant qu’avaient déjà fréquenté Annette et Bernard il y a dix-huit ans pour y manger d’excellentes viandes (rumsteck, bavette et filet). Nous  prenons 3 steacks pour nous 7, c'est largement assez!  Et nous nous régalons!

Nous marchons dans les rues piétonnes de la ville et visitons le marché artisanal. Salta est une ville réputée pour ses nombreux musées et par une riche activité culturelle mais nous n'en avons malheureusement pas le temps d'en profiter var nous rejoignons Buenos Aires en fin de soirée.

Le 3 mars, nous partons vers Cachi dans la direction des vallées calchaquies.. Au début le temps est nuageux mais agréable. Les paysages sont toujours aussi fantastiques.

Plus loin, nous montons dans le brouillard total !  Nous roulons tous phares allumés dans les lacets de la montagne. Impressionnant !

 Cependant, peu après le passage du col de la Piedra del Molino à près de 3500 m d'altitude, le beau temps revient sur le plateau et nous découvrons un panorama encore une fois exceptionnel !

Nous prenons des photos de groupe au dessus de la « Recta Tintin », route toute droite de 14 km de long. Bernard se casse la figure et dérape devant Annette en lui envoyant une grosse pierre dans le tibia. Aïe, aïe, aïe !

 La route est bordée de grands cactus "candélabres". Nous n'hésitons pas à nous y piquer! Le pique-nique se passe à l'ombre d'une ruine d'une maison calchaqui en pierres sèches. Il fait vraiment très chaud alors que devant nous pointent des sommets enneigés à plus de 6000 m d'altitude!

 Nous visitons le joli village de Cachi, . Il paraît qu'il est si ancien qu'on ne lui connaît aucune date précise de fondation. Les ruelles pavées sont bordées de maisons basses aux murs chaulés, ancrées sur un soubassement de pierre et magnifiquement restaurées.

Nous passons à Molinos et dormons à Angastaco. Nous y prenons notre repas au « Rincon Florido » où, en sonnant dans une maison particulière, nous avons l’agréable surprise d’être reçus dans la salle à manger de la famille. La soirée est exceptionnelle et riche en émotions: Le chef de famille, Leonardo, nous propose son vin, nous montre ses collections et les cartes postales reçues du monde entier et nous chante quelques chansons de son cru accompagné de sa guitare (mal accordée !) Sa femme nous prépare d’excellents empanadas et une cassolette de cabri succulente ! Nous chantons, dansons, écoutons Lluvia (la pluie), la fille de Leonardo, nous chanter une belle chanson d’amour.

Excellente soirée !

Le lendemain matin, nous continuons la route 40 vers le sud. Le cadre est surréaliste: montagnes arides, énormes dunes lunaires sculptées, aiguilles pointues, désert et cactus avec en arrière plan, la verte vallée du rio Calchaqui qui s'est ici élargie.

 Nous descendons vers Cafayate en milieu d'après midi. Les cultures deviennent de plus en plus importantes, surtout des vignes mais également de grands champs de piments mis à sécher au soleil.

Nous profitons de notre arrivée à Cafayate pour visiter une cave productrice de vins biologiques et  laver  nos voitures qui retrouvent enfin leurs couleurs d'origine.

Nous visitons la petite ville de Humahuaca le matin. Nous sommes à 2950 m d'altitude! Les ruelles pavées, bordées de maisons basses aux toits-terrasses, sont caractéristiques des villages andins.

Nous continuons vers le sud et passons l'endroit symbolique du Tropique du Capricorne

Nous arrivons à Tilcara, autre ville intéressante de la "Quebrada de Humahuaca", classée au patrimoine de l'Unesco.

Plus loin, nous passons devant le petit village de Maimara. Son cimetière, juché sur une colline,  se déploie devant l'une des grandes merveilles géologiques de la Quebrada: la Paleta del Pintor. 

Ensuite la ruta 9, qui mène vers Salta, est encore une fois superbe!